Ceux qui avaient pour eux les yeux de Chimène, les voyaient comme de
valeureux hommes, leurs représentants, sorte d'incarnations terrestres
de leurs fantasmes, prêts à un combat digne, respectueux des règles
élémentaires de la guerre ont été un peu déçus.
Depuis
le début de ce conflit ouvert, on a pu observer que ces régiments que
nous avons dès 2014 qualifié d'ukronazis se sont conduits comme la pire
des espèces, de vraies racailles indignes de ce combat frontal que leur
promettait Vladimir Poutine, ils ont appliqué le même mode opératoire
que les pets grêleux qui ont sévi un temps au Moyen-Orient avant
l'intervention victorieuse de l'armée russe.
En dehors de faire des
selfies, de gonfler leurs muscles et de défiler de nuit une torche à la
main, leurs faits de guerres se sont réduits à se planquer comme des
cafards de manière permanente dans des écoles, des hôpitaux, des
maternelles, des ONG et puis ensuite dans tout ce qui pouvait être des
lieux d'habitation, à martyriser leurs prisonniers pour les supprimer
ensuite comme ils l'ont fait durant huit ans sur le courageux peuple du
Donbass, femmes, enfants et hommes confondus.
Aucune fierté, aucune stratégie que celle du "Courage, fuyons".
Certes,
la bataille fut longue et rugueuse, elle l'est encore, car, ces bras
armés du système qui se préparent à une énième défaite, de ces
déculottées dont les écoles de guerre occidentales disséqueront les
moindres détails, ont été longuement préparés, choyés par ceux qui se
proclament les maîtres du monde, ils furent dotés des meilleurs
armements létaux, de la meilleure technologie aussi, formés longuement
par une tripotée des meilleurs officiers instructeurs de Paris,
Washington, Londres, Canberra ou Tel Aviv.
Rien ne leur a permis un seul instant d'avoir une quelconque supériorité.
Seulement,
à ce moment de bascule actuel on ne peut que constater que la
prééminence de l'armée russe sur de nombreux plans aura eu raison de ce
qui constituait le fer de lance des armées occidentales, sa vitrine en
quelque sorte.
Washington avait tout fait pour ne plus subir de
nouvelle déconvenue militaire, en investissant des milliards de dollars.
ils ont minutieusement préparé cette bataille dont ils ont chois
eux-mêmes le terrain.
ils ont failli une fois de plus, incapables
d'aucune victoire, car, malgré tout ce qu'on a pu lire ça et là, il y
aura un fait immuable depuis de nombreuses décennies, l'armée russe est
devenue invincible.
Elle l'a prouvé sur les théâtres d'opération
diverses et en Ukraine, c'est de nouveau un revers terrible que vivent
toutes les forces occidentales, d'où leur fièvre à colmater les brèches
du mieux qu'ils peuvent, à tenter de faire ce qu'ils savent faire le
mieux : organiser l'illusion avec leurs multiples outils de
communication.
C'est trop tard, le tournant est déjà pris, l'assaut
final se prépare, les fanions de leurs hérauts seront foulés aux pieds,
les perdants devront s'expliquer ensuite sur les liens qui les ont unis
pêle-mêle avec tous les pays dits libres de manière fraternelle.
L'heure des comptes sonnera bien vite.
Moi qui ne suis ni slave ni sémite, ni américain, je peux donc librement vous livrer sereinement cette analyse. Ces deux conflits de haute intensité comme disent les militaires qui en savent un rayon sur la manière d'éradiquer l'espèce humaine, ont, à mes yeux une similitude frappante. Que ce soit au Proche-Orient ou en Ukraine, deux blocs cousins s'affrontent même si ça ne saute pas aux yeux du béotien de base qui peuple nos cités et qui avale quotidiennement sa dose de bouillie mûrement confectionnée pour l'endormir ensuite. Je m'explique, on le sait pour l'Ukraine, les slaves, cousins ennemis, se font face, ça c'est acté et difficilement contestable, pour Gaza c'est exactement le même topo, qu'on le veuille ou non, là ce sont des sémites d'origine qui le revendiquent bien haut et qui se disputent ces terres ou plutôt d'un côté de pauvres gens parqués comme des bestiaux qui subissent l'agression constante de cousins éloign...
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