La fin du mythe.
L’institution de Bruxelles, dirigée en sous-main par
Washington ne positionne que des brebis à trois pattes, par exemple
cette Ursula Von Der Leyen dont les succès dans son pays demeurent bien
falots, uniquement lorsqu’elle s’occupait de la famille (et encore), une
bonne femme au foyer mais une femme politique sans la moindre
expertise, « mauvaise gestionnaire », les qualificatifs qui vont bon
train et lui collent à la peau sont révélateurs.
« Les
Allemands la perçoivent comme la deuxième personne la moins compétente
au Gouvernement » de l’époque, on comprend mieux comment la Commission
Européenne est devenue un gigantesque dépotoir où on recueille les ratés
de tous les pays, le placard doré des copains.
Après le Conseil
européen de juillet 2019, seuls 33 % des Allemands sondés par l’institut
Infratest dimap estiment qu’elle ferait une bonne présidente de la
Commission européenne, ils ne s’étaient pas trompés.
Celle qui vient
de s’illustrer en prédisant les pires maux à la Russie, serait même une
piètre « Madame Irma », car, les faits sont là et bien têtus, le rouble
retrouve son niveau d’avant la crise malgré les coups de boutoir d’une
Europe qui n’a plus aucun sens commun et qui met en priorité les
injonctions des Etats-Unis par rapport à ses propres intérêts et grâce
aussi à la clairvoyance et la grande expertise de l’équipe au pouvoir en
Russie.
Cette Europe représentée par cette bonne femme inculte et
animée que par un atlantisme baveux ne tient plus qu’à un fil, une seule
faille et elle s’écroulera comme un château de cartes, c’est ce que
nous formons de tous nos voeux.
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