Lorsqu'on choisit ce camp, celui qui est le plus vilipendé, le plus haï par une grande partie des occidentaux, calés confortablement derrière leurs écrans de télé un paquet de chips à la main, comme au spectacle, lorsque sans arrêt on tente de faire comprendre que ceux qui colportent ces mensonges de manière endémique et permanente, comme une seconde peau sont toujours les mêmes, ces gens manipulateurs sont mus par une volonté de vengeance et de mort, ils sont dans un autre monde que le nôtre.
il faut être forts, il faut être solidaires, il faut apporter des preuves irréfutables de leurs égarements, de leurs montages grossiers, il faut être honnêtes aussi, alors qu'en face on se complaît dans des pathologies lourdes de schizophrénie (les hallucinations en sont les principaux symptômes ne l'oublions pas), devant l'évidence, ils nient en bloc comme des voyous pris la main dans le sac.
Là aussi la fracture est patente, ce matin un ami me transmets une vidéo assez dure de militaires ukrainiens dans la région de Kharkov, manifestement dirigés par un officier du Moyen-Orient (un de ces terroristes entretenus par les américains pour semer le chaos en Syrie hier et en Ukraine aujourd'hui, sans doute ?), on y voit au sol quatre ou cinq soldats russes baignant dans leur sang, là, pas de simagrées, pas de mise en scène, c'est le dur, la réalité, un des soldats russes bouge encore et râle, alors, plusieurs rafales d'arme automatique viennent à bout portant faire cesser la vie de ce garçon sans respect sans règle digne, sans procès que celui du mépris de ces bêtes pour tout ce qui est russe ou pro russe, simplement.
Ne nous leurrons pas, le combat ne fait que commencer.