Sont-ils de taille pour nous gouverner ? Le monde ressemble en cet été 2019 à une sorte de jeune chien fou qui court un peu partout sans raison particulière la tête dans les étoiles, saute après les papillons, preuve une nouvelle fois que l'humanité n'est pas encore prête à la sagesse et à la sérénité. Une peu comme le cours de l'or qui ne cesse de grimper, ainsi que la courbe ascendante du CAC 40, la température extérieure bat des records, on ne sait plus trop où vont s'arrêter toutes ces folies. Pendant ce temps, le chef de la gigantesque Amérique du nord se comporte aussi comme un chien fou, ou plutôt comme ce qu'il a toujours montré au monde une sorte de vieil enfant gâté qui ne supporte pas qu'on lui dise non. Avec ce dirigeant imprévisible et velléitaire il faut quand même s'attendre à tout. Il y a quelque mois la Corée du nord était dans l'oeil du cyclone, les spécialistes attentifs pensaient qu'une conflagration allait éclater entre les
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Ukraine, le nouveau président obéit à son mentor le petit doigt sur la couture du pantalon, rien d’étonnant. Nominations sécuritaires : Volodymyr Zelensky alterne entre gages donnés et épouvantails pour ses alliés occidentaux Le nouveau leader ukrainien Zelensky se dote d'un appareil sécuritaire et de renseignement à sa main, remplaçant peu à peu les fidèles de Porochenko. En fonction depuis le 20 mai, le nouveau président ukrainien Volodymyr Zelensky n'a pas attendu pour imprimer sa marque dans les structures sécuritaires du pays. Il a déjà demandé le 30 mai au parlement de voter la démission de Vasyl Gritsak, un proche de l'ex-président Petro Porochenko. Il assure la direction du SBU, le service de sécurité intérieure ukrainien, véritable instrument de politique intérieure. Gritsak conserve pour le moment son poste, les députés étant encore acquis à l'ancienne majorité. Des élections anticipées ont été convoquées pour la fin juillet. D'ici l
Ils ont osé !! 12 millions de militaires, 16 millions de civils morts, purement et simplement oubliés par cette oligarchie triomphante pour commémorer les soixante quinze ans du débarquement de Normandie, celle là même qui vient nous bassiner de manière constante depuis plus de soixante dix ans sur le génocide de six millions de victimes et le devoir de mémoire qu'il faudrait entretenir jusqu'à légiférer pour sanctionner ceux qui osent la minimiser simplement. On le voit de manière ostensible, ils ont bel et bien une vision géométrique des choses, certains morts ne sont pas admis dans leur panthéon, peut-être des morts non convenables ? Alors que la réalité historique est frappante pour n'importe quel analyste honnête, comment la centaine de milliers de yankees auraient-ils pu seuls (ou pratiquement) venir à bout de la gigantesque machine de guerre hitlérienne ? Sans l'énorme sacrifice humain consenti par la force des armes par ce peuple qui ne se laisse pas en
Depuis quelques jours l'effervescence est palpable dans les couloirs de Bruxelles, le trotskyste relooké par les ultra libéraux vient de lancer une fatwa sur l'Italie. Pour Moscovici, juif d'origine roumaine par son père et polonaise par sa mère, ce grand bourgeois vient donner des leçons au régime italien trop proche du peuple à son goût, ce nouveau pouvoir hérite d'une situation catastrophique organisée par les amis de ce Moscovici, ne pas l'oublier quand même. Et pourtant, il serait bon que ces gens aient un peu de mémoire, il serait opportun qu'ils n'oublient pas que la France subit les affres de la dégringolade depuis qu'un certain François Mitterrand s'est mis aux manettes aux côtés de tous les amis de ce Moscovici et surtout le flamboyant Strauss-Kahn. Souvenez-vous, avant 1980 la dette public de la France était de 12% par rapport à son PIB (Produit Intérieur Brut), elle est passée, sous les coups de boutoir répétés (de la droite comme de
The beat goes on. Cette vieille chanson qui a bercé ma jeunesse me revient à l'esprit telle une litanie. Et oui, depuis bien longtemps, au pays de l'Oncle Sam, ils se sont succédés, dont une immense majorité accablante pour ne pas dire tous sans exception, ont été de belles caricatures, chacun son style, mais tous ont semé la guerre, la terreur pendant toute la durée de leur séjour à la Maison Blanche. Le bi partisme est de rigueur outre Atlantique, en revanche la laideur et la volonté de destruction ne sont ni l'apanage des Républicains ni des Démocrates, ils sont tous aussi déplorables dès qu'il s'agit de laisser une empreinte saine et propre de leur passage. Le dernier en date, avec ses mouvements de menton et son éternelle moue ne fait pas exception, à chaque fois, on a l'impression qu'ils se croient tous dans une cour d'école et qu'un dieu quelconque (sans doute le dieu des franc-maçons, des génocidaires et des suprémacistes, qui sait ?) le
Cherchez les intrus. En Ukraine, depuis les débuts de cette affaire, je m'aperçois que ceux qui s'y sont engagés tardivement (pour beaucoup d'entre eux) n'ont jamais mis en exergue cette main-mise de Tel-Aviv avec ses multiples agents, BHL et Fabius hier et ce Zelensky, marionnette de l'escroc israélien Kolomoïsky aujourd'hui sur ce pays déjà en difficulté dès 2014. A contre-courant dès notre toute première manifestation devant l'Ambassade d'Ukraine à Paris, le 22 Février 2014, je les dénonçais déjà. https://youtu.be/8PEtIRWT14k C'est vrai que comme me le rappelait récemment un ami, ce n'est pas conforme d'avoir ce type de comportement, il faut préserver les icônes sous peine de tomber sous leurs fourches caudines, ce qui m'a valu au passage de la part de ces nombreux défenseurs du peuple du Donbass, une attitude de rejet. La liste de ceux qui m'ont tourné le dos pour cette unique raison est longue. Je les mettrais bientôt f