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 Moi qui ne suis ni slave ni sémite, ni américain, je peux donc librement vous livrer sereinement cette analyse. Ces deux conflits de haute intensité comme disent les militaires qui en savent un rayon sur la manière d'éradiquer l'espèce humaine, ont, à mes yeux une similitude frappante. Que ce soit au Proche-Orient ou en Ukraine, deux blocs cousins s'affrontent même si ça ne saute pas aux yeux du béotien de base qui peuple nos cités et qui avale quotidiennement sa dose de bouillie mûrement confectionnée pour l'endormir ensuite. Je m'explique, on le sait pour l'Ukraine, les slaves, cousins ennemis, se font face, ça c'est acté et difficilement contestable, pour Gaza c'est exactement le même topo, qu'on le veuille ou non, là ce sont des sémites d'origine qui le revendiquent bien haut et qui se disputent ces terres ou plutôt d'un côté de pauvres gens parqués comme des bestiaux qui subissent l'agression constante de cousins éloign
  Trois fois hélas qu'ils devraient soupirer. Il est vrai que bombarder des civils pendant neuf longues années n'a rien de glorieux, ni de formateur, ni de particulièrement révélateur des qualités d'une grande armée (qui fut défaite à Debaltsevo, faut-il le rappeler ?). Or, dès qu'on pense être capables de passer la vitesse supérieure, poussés par un comédien sans talent (ce qui est quand même un comble pour le moindre des militaires) et affronter une véritable ligne de défense composée de soldats professionnels, formés, aguerris et parfaitement bien conseillés, là, c'est une autre paire de manche. Voilà donc le constat que l'on peut tirer de la première salve de ce que tout l'occident appelait de ses voeux depuis de nombreux mois. Il faut donc se rendre à l'évidence, l'armée de l'OTAN n'a aucune capacité à mener une guerre stratégique normale, on s'en est d'ailleurs rendus compte lors des engagements qu'elle a menés sur différent
 La Libération, parlons-en un peu ! A quelques jours de la commémoration du débarquement sur les plages de Normandie, il est important de raviver un peu les mémoires : Voici le bilan des pertes humaines : Arrivant largement en tête, d’abord le Peuple russe avec plus de 12 Millions de morts (plus de 7 millions de soldats et plus de 5 millions de civils), certains évoquent même le chiffre de plus de vingt millions, ensuite vient l’Allemagne avec 7 millions de morts (4 millions de militaires et 3 millions de civils), en troisième position vient la Pologne avec plus de 5 millions de victimes (le plus lourd tribut supporté par 5 millions de civils), notre pays, c’est à peu près 600.000 morts (250.000 militaires et 350.000 civils dont près de 100.000 morts sous les bombardements alliés ...). Largement en dernière position vient l’Amérique du Nord avec 300.000 soldats. Alors, lorsque vous entendrez le concert des vierges et tous les lèche-bottes derrière pleurnicher sur le lourd
 Depuis de nombreux mois, les experts militaires sérieux (il y en a fort heureusement) évoquent un conflit d'attrition. Oui, c'est une technique militaire bien connue, les russes en ont fait leur marque de fabrique ce qui a déconcerté de nombreux observateurs occidentaux qui se prenaient pour des spécialistes de la question, j'en connais. Alors, ces derniers, incultes au dernier degré se sont permis de critiquer les choix stratégiques de l'état-major russe, de la chaîne de commandement, vieux réflexe d'idiots inutiles. Bref, ces gens qui ont baigné bien souvent toute leur piètre carrière militaire dans les antichambres otanesques et ont été formés aux techniques de combat directement venues de Washington ne comprenaient plus rien à la chose militaire. Les replis stratégiques s'enchaînant ils se complaisaient alors dans des critiques de plus en plus vives à l'égard d'une armée dont les chefs avaient décidé de jouer sur la tromperie et l'éc
  L'opposition contrôlée, une profession qui a de l'avenir ! Voilà un beau sujet de réflexion et d'analyse de ce système extrêmement performant, au moment où l'on voit fleurir de nouvelles "chaînes alternatives" à qui mieux mieux, où l'on ne sait plus où donner de la tête et de l'oreille, tant dans ce fatras une chatte ne retrouverait plus ses petits. Cette réflexion m'est venue tout naturellement, car, j'aime observer mes contemporains, surtout ceux qui ont une voix discordante, les autres m'endorment (le but, sans doute ?) or, depuis quelques années, on s'est aperçu que bon nombre de personnalités ou de micro partis qui présentaient une singularité intéressante ont été, chacun son tour, mis en cabane (puis après cette émasculation, on ne les a plus entendus, une épée de Damoclès surveillant leurs faits et gestes) ou dissous purement et simplement sous des prétextes fallacieux, peu leur importe, ils ont le manche de pioche dans la main
  Je dois faire mon mea culpa. Je suis, ainsi qu'un grand nombre de mes amis, à classer parmi les naïfs ou les rêveurs, parfois lorsqu'il nous prend des idées de révolte. Comment peut-on encore s'étonner de la complicité des politiques, des médias, des instituts de sondage, des syndicats, du milieu culturel dans son ensemble, additionnés aux forces de l'ordre et à la hiérarchie de nos armées. Bref, à tout ce qui a un quelconque pouvoir de persuasion (et/ou manipulation ce qui va de pair) et de coercition dans notre pays qui a été contraint par ces différentes forces à se courber. Ils sont tous, sans exception sous l'emprise du bel argent qui leur est généreusement distribué sans compter pour que tous continuent de marcher au pas et au son du pipeau présidentiel, appendice artificiel de leur Nouvel Ordre Mondial. A la moindre voix dissonante et audible, on coupe le robinet pour tuer socialement et, ainsi, isoler, c'est d'une simplicité déconcertante. Tous ven
 Comme la stratégie russe est parfaitement limpide, il semble désormais se dessiner que ce conflit sera long voire très long (certains annoncent même une dizaine d'années), à l'occasion de l'anniversaire du début de l'opération spéciale, il n'y a pas eu de mouvement particulièrement plus intense (une simple avancée régulière des troupes d'élite) comme les ukrops (et de nombreux observateurs) s'y attendaient. Ce sera une course de fond, une partie d'échec qui usera l'adversaire, comme elle l'a profondément usé au cours de cette première année, l'ensemble des pays de l'OTAN commence d'ailleurs à s'y préparer aussi, ce qui est loin d'être à leur goût vu l'état de délabrement (économique et sociétal) de leurs sociétés, or, ils n'ont pas le choix, ils sont forcés de suivre la Russie dans ses choix et non pas l'inverse comme on tendrait à nous faire croire. La personnalité de Poutine, une nouvelle fois, prend