Depuis quelques jours l'effervescence est palpable dans les couloirs de Bruxelles, le trotskyste relooké par les ultra libéraux vient de lancer une fatwa sur l'Italie.
Pour Moscovici, juif d'origine roumaine par son père et polonaise par sa mère, ce grand bourgeois vient donner des leçons au régime italien trop proche du peuple à son goût, ce nouveau pouvoir hérite d'une situation catastrophique organisée par les amis de ce Moscovici, ne pas l'oublier quand même.
Et pourtant, il serait bon que ces gens aient un peu de mémoire, il serait opportun qu'ils n'oublient pas que la France subit les affres de la dégringolade depuis qu'un certain François Mitterrand s'est mis aux manettes aux côtés de tous les amis de ce Moscovici et surtout le flamboyant Strauss-Kahn.
Souvenez-vous, avant 1980 la dette public de la France était de 12% par rapport à son PIB (Produit Intérieur Brut), elle est passée, sous les coups de boutoir répétés (de la droite comme de la gauche certes) à 98,5%, pas de quoi pavoiser, ni de se poser en professeur d'Economie envers la valetaille.
Ces gens méprisants et infatués de leur petite personnes ont toujours tendance à nous faire prendre les vessies pour des lanternes, c'est une vieille habitude chez eux.
Mais souvenez-vous aussi que lorsque cet histrion qui se prend pour un demi dieu était Ministre des Finances de l'inénarrable Hollande, la France a connu une des pires séquences de son histoire en terme de baisse du pouvoir d'achat des ménages et d'augmentation drastique des impôts vers les TPE PME et les familles moyennes (Plus de 52 Milliards d'augmentation).
Mais il a oublié tout ça désormais, son combat militant se focalise sur notre voisin transalpin au seul prétexte que la ligne politique de ce pays n'est plus en concordance avec les siennes.
Il a oublié la Grèce, un temps semble-t-il, puisque sa mission de redressement et d'assistance a lamentablement échoué (181% de dettes) mais le Portugal aussi (124,5%) et la Belgique (102%), tous ces pays ne sont pas à l'instar de l'Italie, il est vrai marqués du sceau de l'infamie de l'ultra gauche qu'il représente toujours de manière infatigable.
L'analyse froide des chiffres nous remet dans le droit chemin, le fiasco de ces décennies de gestion libéralo-socialiste qui a lamentablement échoué est factuel.
Les multiples courroies de transmission qu'ils ont placé ne remettront jamais leur système en cause, ce sera toujours de la faute de l'autre.
En attendant le peuple devra continuer à payer pour jeter dans ce trou sans fond leurs modestes économies et les nantis continueront de nous asperger de leur suffisance, jusqu'à quand ?
Pour Moscovici, juif d'origine roumaine par son père et polonaise par sa mère, ce grand bourgeois vient donner des leçons au régime italien trop proche du peuple à son goût, ce nouveau pouvoir hérite d'une situation catastrophique organisée par les amis de ce Moscovici, ne pas l'oublier quand même.
Et pourtant, il serait bon que ces gens aient un peu de mémoire, il serait opportun qu'ils n'oublient pas que la France subit les affres de la dégringolade depuis qu'un certain François Mitterrand s'est mis aux manettes aux côtés de tous les amis de ce Moscovici et surtout le flamboyant Strauss-Kahn.
Souvenez-vous, avant 1980 la dette public de la France était de 12% par rapport à son PIB (Produit Intérieur Brut), elle est passée, sous les coups de boutoir répétés (de la droite comme de la gauche certes) à 98,5%, pas de quoi pavoiser, ni de se poser en professeur d'Economie envers la valetaille.
Ces gens méprisants et infatués de leur petite personnes ont toujours tendance à nous faire prendre les vessies pour des lanternes, c'est une vieille habitude chez eux.
Mais souvenez-vous aussi que lorsque cet histrion qui se prend pour un demi dieu était Ministre des Finances de l'inénarrable Hollande, la France a connu une des pires séquences de son histoire en terme de baisse du pouvoir d'achat des ménages et d'augmentation drastique des impôts vers les TPE PME et les familles moyennes (Plus de 52 Milliards d'augmentation).
Mais il a oublié tout ça désormais, son combat militant se focalise sur notre voisin transalpin au seul prétexte que la ligne politique de ce pays n'est plus en concordance avec les siennes.
Il a oublié la Grèce, un temps semble-t-il, puisque sa mission de redressement et d'assistance a lamentablement échoué (181% de dettes) mais le Portugal aussi (124,5%) et la Belgique (102%), tous ces pays ne sont pas à l'instar de l'Italie, il est vrai marqués du sceau de l'infamie de l'ultra gauche qu'il représente toujours de manière infatigable.
L'analyse froide des chiffres nous remet dans le droit chemin, le fiasco de ces décennies de gestion libéralo-socialiste qui a lamentablement échoué est factuel.
Les multiples courroies de transmission qu'ils ont placé ne remettront jamais leur système en cause, ce sera toujours de la faute de l'autre.
En attendant le peuple devra continuer à payer pour jeter dans ce trou sans fond leurs modestes économies et les nantis continueront de nous asperger de leur suffisance, jusqu'à quand ?
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