La campagne électorale pour les élections Européennes prend une tournure pitoyable.
Le parti du président Macron se voyant en mauvaise posture dans les sondages, celui-ci sort du bois (il n'y est d'ailleurs pas rentré longtemps) il mouille la chemise au propre et au figuré pour aider sa très mauvaise candidate à se sortir du bourbier face au brillant colistier de Marine Le Pen.
Ne nous y trompons pas, ce scrutin laissera des traces indélébiles dans le quinquennat macronien déjà lourdement impacté par la crise des Gilets Jaunes ainsi que pour celui d'Angela Merkel, promise au même sort que son alter ego français.
Alors, comme d'habitude ces politiciens utilisent toujours les mêmes artifices grossiers pour faire croire qu'ils sont des victimes.
Quoi de plus simple, en effet, que de faire porter la faute de ses errances sur les autres.
Pour le président Macron, le parti de Marine Le Pen serait sous influence étrangère, en commençant, bien sûr par la sempiternelle influence russe qu'on ne sait comment prouver (puisqu'elle n'existe pas) et au sujet de laquelle on invente des soi-disants hackers de l'ombre qui seraient largement financés par Moscou mais que personne ne connait.
Ensuite vient en seconde position désormais ce Steve Bannon, ancien bras droit de Trump qui, mis à la retraite, pour tuer le temps vient soutenir les partis populistes européens patriotes dans leur combat contre le système.
Ce type d'anathème est tout à fait inédit, voire déroutant pour l'homme de la rue.
Le constat est, en effet, alarmant pour les courants traditionnels qui dirigent depuis si longtemps les affaires des pays européens, le peuple qui manifestement aspire au changement, souhaite le faire de manière radicale en mettant déjà au Parlement européen des députés d'un nouveau genre, euroseptiques à souhait qui, d'ores et déjà ont une feuille de route toute tracée : faire obstruction.
L'Union Européenne new look sera-t-elle plastiquée de l'intérieur ?
C'est peu probable quand on connait bien son fonctionnement puisque les élus de chaque pays n'ont aucun pouvoir fondamental de nuisance sur cette institution mortifère pour l'Europe, la vraie celle des ouvriers, des artisans, des agriculteurs, et du petit peuple en général au profit des oligarques internationaux.
Le coup de semonce sera quand même irréversible.
Les leaders honnêtes remettront leur mandat pour de nouvelles élections, les autres persisteront dans la mauvaise foi et les fake news, dont nous sommes désormais habitués.
Et les tenants du système ultra libéral vacillant continueront à dénoncer des chimères jusqu'à ce que plus personne ne les écoute.
De nombreux analystes avaient déjà prévu cette fin de règne qui s'annonce pas à pas, elle est désormais en marche, palpable et chacun peut la voir tomber en lambeaux.
Le parti du président Macron se voyant en mauvaise posture dans les sondages, celui-ci sort du bois (il n'y est d'ailleurs pas rentré longtemps) il mouille la chemise au propre et au figuré pour aider sa très mauvaise candidate à se sortir du bourbier face au brillant colistier de Marine Le Pen.
Ne nous y trompons pas, ce scrutin laissera des traces indélébiles dans le quinquennat macronien déjà lourdement impacté par la crise des Gilets Jaunes ainsi que pour celui d'Angela Merkel, promise au même sort que son alter ego français.
Alors, comme d'habitude ces politiciens utilisent toujours les mêmes artifices grossiers pour faire croire qu'ils sont des victimes.
Quoi de plus simple, en effet, que de faire porter la faute de ses errances sur les autres.
Pour le président Macron, le parti de Marine Le Pen serait sous influence étrangère, en commençant, bien sûr par la sempiternelle influence russe qu'on ne sait comment prouver (puisqu'elle n'existe pas) et au sujet de laquelle on invente des soi-disants hackers de l'ombre qui seraient largement financés par Moscou mais que personne ne connait.
Ensuite vient en seconde position désormais ce Steve Bannon, ancien bras droit de Trump qui, mis à la retraite, pour tuer le temps vient soutenir les partis populistes européens patriotes dans leur combat contre le système.
Ce type d'anathème est tout à fait inédit, voire déroutant pour l'homme de la rue.
Le constat est, en effet, alarmant pour les courants traditionnels qui dirigent depuis si longtemps les affaires des pays européens, le peuple qui manifestement aspire au changement, souhaite le faire de manière radicale en mettant déjà au Parlement européen des députés d'un nouveau genre, euroseptiques à souhait qui, d'ores et déjà ont une feuille de route toute tracée : faire obstruction.
L'Union Européenne new look sera-t-elle plastiquée de l'intérieur ?
C'est peu probable quand on connait bien son fonctionnement puisque les élus de chaque pays n'ont aucun pouvoir fondamental de nuisance sur cette institution mortifère pour l'Europe, la vraie celle des ouvriers, des artisans, des agriculteurs, et du petit peuple en général au profit des oligarques internationaux.
Le coup de semonce sera quand même irréversible.
Les leaders honnêtes remettront leur mandat pour de nouvelles élections, les autres persisteront dans la mauvaise foi et les fake news, dont nous sommes désormais habitués.
Et les tenants du système ultra libéral vacillant continueront à dénoncer des chimères jusqu'à ce que plus personne ne les écoute.
De nombreux analystes avaient déjà prévu cette fin de règne qui s'annonce pas à pas, elle est désormais en marche, palpable et chacun peut la voir tomber en lambeaux.
Commentaires