Les amères loques ont encore remporté une belle victoire à notre détriment, notre avenir et celui de nos enfants leur importe si peu.

L'ensemble des pays occidentaux sous domination américaine s'offre à cette nouvelle lubie : le GNL ou gaz de schiste obtenu par fracturation hydraulique à grand volume avec tous les dégâts sur l'environnement que nous connaissons depuis des années.

Puis, l'acheminement de cette énergie fossile extraite au forceps est faite au moyen de milliers de méthaniers de par le monde, le pipe-line étant la seule méthode la plus simple et la plus propre.

« Simple », « propre », la note sera salée, sachez le.

Et enfin, il va falloir construire de nouveaux terminaux méthaniers spécialement pour recueillir ce gaz malsain.

« En coulisses, le gouvernement cherche même à augmenter ses capacités de réception du GNL apporté par bateaux, qui atterrissent pour l’heure aux terminaux de Dunkerque (Nord), Montoir-de-Bretagne (Loire-Atlantique), Fos-Cavaou et Fos-Tonkin (Bouches-du-Rhône). Selon Les Échos, la France projette avec Engie l’installation d’un terminal méthanier flottant au large des côtes françaises, probablement au Havre. »

 

Là, également, on n'entend plus les écolos gueulards, ils sont retournés dans leurs latrines, ces soldats du mondialisme qui nous dévoilent chaque jour un peu plus leur véritable visage et leur combat (cf toutes les déclarations plus véhémentes les unes que les autres de leur candidat Jadot, véritable militant russophobe et mondialiste) .

Pourtant quelques petites voix inaudibles s’élèvent dans ce brouhaha hystérique : « Ce recours accru au gaz américain, « qui aurait, à la limite, pu s’entendre sur le court terme », « n’est pas acceptable quand il s’accompagne de l’augmentation de la durée du contrat à vingt ans ». Les contrats à long terme ont pour effet d’inciter le secteur gazier à investir dans de nouvelles capacités de production et infrastructures, « qui anéantissent les objectifs inscrits dans l’Accord de Paris, atteignables en allant vers le renouvelable et la sobriété ».

 

Curieux de savoir ce que va nous sortir encore leur COP annuelle (Conference of the parties) face à cette accentuation de la pollution de par le monde entier.

Rappelons les objectifs de ce machin qui n’aura donc vécu que quelques années, qui nous aura coûté fort cher et qui aura été sabordé par nos chers amis d’Outre-Atlantique :

« Alertés depuis le premier rapport du GIEC (1990) de l’incidence de l’activité humaine sur le réchauffement de la planète, les États se donnent pour objectif, dès la première COP, de réduire leurs émissions de gaz à effet de serre.

Chaque réunion annuelle donne alors lieu à un état des progrès réalisés dans la baisse des émissions et éventuellement à la signature de nouveaux accords plus ambitieux. »

 

Il est vrai que là aussi, c'est pour votre bien, voyons !

La belle arnaque a pris forme au bénéfice pur de ceux d’en face.