Je m'adresse ce matin à ceux qui ont les yeux bien ouverts, les autres qui sont sous l'influence de ce système mafieux pervers, qu'ils crèvent.
Oui, mes chers amis, nous sommes effectivement dans un climat de guerre ouverte.
Mais pas du tout de celle que les médias sous subventions d'état ou bien sous celles de magnats de la finance ou des BTP nous décrivent à longueur de jours.
La guerre qui a été déclarée à cette vieille Europe qui tient encore debout, ( pour combien de temps ? ) remonte à plusieurs années déjà, ce n'est pas une guerre frontale, non, non, c'est bien plus insidieux que ça.
Nos institutions ont été occupées par la persuasion, certaines par la force, mais pas celle des armes, du moins jamais ouvertement car, les évictions, expatriations forcées ou les assassinats des opposants se sont faits sous le manteau, nos services de renseignements aux ordres ont cette efficacité redoutable qui transforme un meurtre politique en vulgaire accident de la vie, c'est ce qui fait leur marque.
Le venin a commencé à couler lentement dans le sang de nos compatriotes et le nôtre, pour rendre les nations européennes paralysées, un peu comme une chèvre sous la pression d'un boa.
Nous sommes arrivés à la fin proche, celle qui couronnera la victoire de nos ennemis.
Car, ne nous y trompons pas, ils sont sur le point de décrocher cette victoire, en effet, la résistance (qui fut très faible) est désormais moribonde.
Ce constat extrêmement sombre, je l'ai fait froidement et non pas sous l'emprise d'une haine sourde.
Les puissances atlantistes dans leur acception la plus large ont depuis très longtemps lorgné sur nos nations qui représentent un passé victorieux et glorieux sur tous les plans, un exemple pour ces nombreux pays à la traîne, c'était donc pour ces pays qui avaient pour point commun d'être terroristes et voleurs de terres gravés dans leur ADN, nous représentions un concurrent dangereux tant sur le plan géopolitique que morale.
Alors, patiemment, nos ennemis se sont mis à la tâche pour déglinguer toutes nos institutions de manière méticuleuse.
Les unes après les autres, elles sont tombées, sans trop de résistance puisque c'était pour notre bien-être, pour suivre la mode (inventée par eux), pour être moins "ringards" n'est-ce-pas ?
Ils nous ont inventé des vagues d'invasion pour mieux nous affaiblir de l'intérieur toujours, nous ne pouvions rejeter à la mer ces pauvres gens, cette masse déracinée, nos petits coeurs saignaient.
Chaque plan funeste aura été finement ciselé, ne laissant aucune place à l'à peu près, les coups de boutoir devaient être précis et fatals.
Une menace cependant planait au dessus de leur champ de bataille, c'était la Russie, pays imperméable à leurs théories dévastatrices, pays orthodoxe qui mettait avant toute chose la fierté d'appartenir à une nation forte, tout ce qu'ils combattaient pour que nos terres ne soient plus que des jachères.
Et voilà qu'ils ont trouvé cette zone molle où ils pourraient y mettre leur dague afin de porter le coup décisif, celui qui éloignerait définitivement la tentation de se rapprocher de ceux qu'ils fallait identifier à jamais comme le mal absolu.
D'un seul coup en seulement une poignée de mois, ils ont intensifié dans la torpeur générale leur attaque, en promettant au passage d'envahir militairement de nombreuses zones, toujours pour notre bien, de permettre à cette Allemagne qui a marqué notre Europe de manière sanglante et indélébile de se militariser aussi, au passage.
L'invasion est visible, perceptible, mais c'est pour mieux nous protéger, mieux nous chauffer ? Là, non, c'est un autre sujet.
Les entreprises d'origine atlantistes et/ou sionistes avaient déjà planté le décor de leur futur terrain de jeu, il sera sucé jusqu'à la dernière goutte, d'ailleurs, au passage, sachez qu'ils nous méprisent tellement et qu'ils ne porteront pas le deuil lorsque notre monde s'écroulera définitivement après avoir enrichi une dernière fois leurs entreprise multi nationales.

 

André CHANCLU

Président du Collectif France Russie.