Elections, piège à .... ?
Hier, je regardais une interview vidéo du porte-parole de la liste du PS (oui, apparemment ils existent encore) pour les très prochaines élections Européennes.
Des paroles empreintes de bon sens émaillaient le discours de ce Glucksmann, de la conviction aussi, toujours, sans sourciller.
Si on est de nature naïve, on aurait vite fait de mettre un bulletin dans l'urne pour ce candidat, mais, lorsqu'on pousse la porte pour écouter l'immense majorité des autres, c'est la même chanson aussi et la même partition.
Il faudrait changer les institutions européennes de l'intérieur qu'ils nous disent tous, il serait utile de tout bouleverser même, une révolution orchestrée par ceux là même qui nous roulent dans la farine depuis si longtemps ?
Toujours de l'intérieur.
Et oui, l'éternel "votez pour moi ou mes petits copains et vous verrez ce que vous allez voir".
Les aveugles, les sourds et les stupides se feront, une nouvelle fois, prendre, par ce piège énorme qui leur est tendu à chacun de ces scrutins délocalisés vers cette forteresse qui nous a dépossédés de tout depuis sa création.
A chaque fois, on nous enrobe dans les plis de notre drapeau pour nous endormir et mieux nous étouffer ensuite, une fois que la fête est finie.
Alors, recommence ensuite l'éternel bal des vampires, de ceux qui n'ont qu'un but affirmé, nous affaiblir encore et toujours, favoriser encore et toujours les oligarchies mondialistes au détriment de notre économie de proximité, de laisser libre-cours à l'action perverse des agents de ces multiples lobbies qui n'ont qu'une seule feuille de route : faire du profit à tout prix pour leur patron sans visage et sans patrie.
Depuis que cette machine destructrice existe, notre pays est de plus en plus faible, c'est factuel, notre agriculture locale est moribonde, on a favorisé les grosses exploitations agricoles et les petits ou moyens ont crevé sans que quiconque ne lève le petit doigt, là, on ne se soucie guère des suicides endémiques de cette profession oubliée.
Autre secteur en état de mort cérébrale : la petite industrie, elle s'est faite aussi, peu à peu étouffer à coups de subventions de l'Europe qui lui a distribué depuis des décennies, des miettes pour mieux la phagocyter ensuite, comme pour la petite agriculture.
Les pays qui ont bénéficié de la mort annoncée de nos économie sont, à leur tour, tombés dans le piège qui leur était tendu, car, à terme cette Europe n'intéresse plus les marchands, trop avides pour trouver d'autres champs à exploiter, d'autres ressources à siphonner.
Je pense à l'Espagne, au Portugal, à la Grèce, à l'Italie, à la Pologne, tous ces pays verront peu à peu la manne européenne se réduire et le robinet s'arrêter définitivement, ont-ils prévu ce cataclysme systémique qui s'annonce chez eux, après avoir été les artisans involontaires de notre chute ?
Alors, me direz-vous, quoi faire ? Subir ou réagir ?
En mettant une nouvelle fois cette armée d'incapables à Bruxelles, incapables mais rémunérés comme des nababs (il faut payer toujours chèrement les assassins et les mercenaires, ça ne date pas d'hier), on ne fera qu'entériner la situation de déperdition de nos nations qui ont cédé à la tentation d'un monde meilleur, mais, comme les mirages n'existent que dans l'imagination des fous, un jour, le réveil sous anxiolytiques est toujours difficile.
Ce réveil cependant est au bout du tunnel, cette Union Européenne aura été un formidable outil, une arme magnifique de destruction massive, alors, encore pour une fois, un petit effort, appuyez sur la détente, c'est ainsi qu'on se comporte quand tout est perdu, non ?
André CHANCLU
Hier, je regardais une interview vidéo du porte-parole de la liste du PS (oui, apparemment ils existent encore) pour les très prochaines élections Européennes.
Des paroles empreintes de bon sens émaillaient le discours de ce Glucksmann, de la conviction aussi, toujours, sans sourciller.
Si on est de nature naïve, on aurait vite fait de mettre un bulletin dans l'urne pour ce candidat, mais, lorsqu'on pousse la porte pour écouter l'immense majorité des autres, c'est la même chanson aussi et la même partition.
Il faudrait changer les institutions européennes de l'intérieur qu'ils nous disent tous, il serait utile de tout bouleverser même, une révolution orchestrée par ceux là même qui nous roulent dans la farine depuis si longtemps ?
Toujours de l'intérieur.
Et oui, l'éternel "votez pour moi ou mes petits copains et vous verrez ce que vous allez voir".
Les aveugles, les sourds et les stupides se feront, une nouvelle fois, prendre, par ce piège énorme qui leur est tendu à chacun de ces scrutins délocalisés vers cette forteresse qui nous a dépossédés de tout depuis sa création.
A chaque fois, on nous enrobe dans les plis de notre drapeau pour nous endormir et mieux nous étouffer ensuite, une fois que la fête est finie.
Alors, recommence ensuite l'éternel bal des vampires, de ceux qui n'ont qu'un but affirmé, nous affaiblir encore et toujours, favoriser encore et toujours les oligarchies mondialistes au détriment de notre économie de proximité, de laisser libre-cours à l'action perverse des agents de ces multiples lobbies qui n'ont qu'une seule feuille de route : faire du profit à tout prix pour leur patron sans visage et sans patrie.
Depuis que cette machine destructrice existe, notre pays est de plus en plus faible, c'est factuel, notre agriculture locale est moribonde, on a favorisé les grosses exploitations agricoles et les petits ou moyens ont crevé sans que quiconque ne lève le petit doigt, là, on ne se soucie guère des suicides endémiques de cette profession oubliée.
Autre secteur en état de mort cérébrale : la petite industrie, elle s'est faite aussi, peu à peu étouffer à coups de subventions de l'Europe qui lui a distribué depuis des décennies, des miettes pour mieux la phagocyter ensuite, comme pour la petite agriculture.
Les pays qui ont bénéficié de la mort annoncée de nos économie sont, à leur tour, tombés dans le piège qui leur était tendu, car, à terme cette Europe n'intéresse plus les marchands, trop avides pour trouver d'autres champs à exploiter, d'autres ressources à siphonner.
Je pense à l'Espagne, au Portugal, à la Grèce, à l'Italie, à la Pologne, tous ces pays verront peu à peu la manne européenne se réduire et le robinet s'arrêter définitivement, ont-ils prévu ce cataclysme systémique qui s'annonce chez eux, après avoir été les artisans involontaires de notre chute ?
Alors, me direz-vous, quoi faire ? Subir ou réagir ?
En mettant une nouvelle fois cette armée d'incapables à Bruxelles, incapables mais rémunérés comme des nababs (il faut payer toujours chèrement les assassins et les mercenaires, ça ne date pas d'hier), on ne fera qu'entériner la situation de déperdition de nos nations qui ont cédé à la tentation d'un monde meilleur, mais, comme les mirages n'existent que dans l'imagination des fous, un jour, le réveil sous anxiolytiques est toujours difficile.
Ce réveil cependant est au bout du tunnel, cette Union Européenne aura été un formidable outil, une arme magnifique de destruction massive, alors, encore pour une fois, un petit effort, appuyez sur la détente, c'est ainsi qu'on se comporte quand tout est perdu, non ?
André CHANCLU
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